Ressource pédagogique : « Bas-fonds du baroque. Rome des vices, de la misère et des excès ». Exposition Académie de France à Rome – Villa Médicis et Petit Palais, 2014 – 2015

cours / présentation - Date de création : 02-06-2013
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Présentation de: « Bas-fonds du baroque. Rome des vices, de la misère et des excès ». Exposition Académie de France à Rome – Villa Médicis et Petit Palais, 2014 – 2015

Informations pratiques sur cette ressource

Type pédagogique : cours / présentation
Niveau : enseignement supérieur
Durée d'exécution : 53 minutes 59 secondes
Contenu : image en mouvement
Document : video/mp4
Taille : 639.97 Mo
Droits d'auteur : libre de droits, gratuit
Droits réservés à l'éditeur et aux auteurs. INHA-2013

Description de la ressource pédagogique

Description (résumé)

De nombreuses expositions ont mis en scène la Rome fastueuse et virtuose du Seicento, héritière de l’Antiquité, au service du pouvoir triomphal des Papes. Mais la fresque se doit d’être plus complexe. Francesca Cappelletti, professeur à l'Université de Ferrare et Annick Lemoine, maître de conférences à l'université de Rennes et chargée de mission pour l'histoire de l'art à la Villa Médicis, sont les commissaires de l'exposition « Bas-fonds du baroque. Rome des vices, de la misère et des excès » qui aura lieu en 2014-2015 à la Villa Médicis à Rome et au Petit Palais à Paris.  L’ambition de cette exposition est de montrer, pour la première fois, l’envers du décor de cette Rome splendide du premier XVIIe siècle : non plus la Rome du « beau idéal », mais celle « d’après nature ». Car cette autre Rome – la Rome « grossière et commune », celle des vices, de la misère et des excès – fut à l’origine d’une production artistique inédite et stupéfiante, tant par sa diversité, ses paradoxes et ses inventions.   Le Festival de l'histoire de l'art, un événement gratuit et ouvert à tous les amoureux et curieux d'art et d'histoire, a été créé en 2011 par le Ministère de la culture et de la communication, l’Institut national d’histoire de l’art et le Château de Fontainebleau, avec le concours du ministère de l’Enseignement supérieur et de la recherche. Événement éphémère qui a lieu tous les ans à la fin du mois de mai, ces trois journées permettent de profiter librement de conférences, débats, concerts, expositions, projections, lectures et rencontres dans le château et dans plusieurs sites de la ville de Fontainebleau. Le Festival explore chaque année un thème et invite un pays dont les méthodes en histoire de l'art sont comparées à celles de la France. En 2013, le thème était "l'Ephémère" tandis que le Royaume-Uni était pays invité. Afin de laisser une trace de ce partage de savoir, l'INHA, coordinateur scientifique de l'événement, en association avec l'EHESS, a décidé de capter quelques-unes des 300 conférences et événements que le Festival propose.   Pour plus d'informations: festivaldelhistoiredelart.com Le Festival explore chaque année un thème. En 2013 celui de l’Ephémère a donné l’occasion au public de découvrir des arts assez peu étudiés en France. L’art de l’éphémère est celui de l’instant ou plus précisément celui d’un moment privilégié capable d’associer dans une parfaite harmonie l’architecture, la peinture, le costume, la musique… Le Festival a ainsi abordé l’architecture éphémère des fêtes et cérémonies, toutes les productions occasionnelles : affiches, placards illustrés, officiels ou clandestins, graffiti, mais aussi les arts de la table, les arts prenant le corps pour support (coiffure, tatouages), la performance… Le sujet engage également un questionnement important sur la politique muséale, tiraillée aujourd’hui entre collections permanentes et expositions temporaires, et sur les conceptions fort différentes du rapport entre éphémère et durable dans les cultures et les arts du monde. L’ensemble des manifestations était en 2013 placé sous le regard privilégié d’un pays invité, le Royaume-Uni. Dans ce grand pays de musées, d’artistes contemporains, de galeries et de ventes aux enchères, d’expositions, d’instituts d’histoire de l’art, les Britanniques ont un rapport à l’histoire de l’art très différent des Français : dès le XVIIe siècle, les initiatives y partent d’individus ou d’institutions privées, grands collectionneurs et archéologues, connaisseurs ou universitaires, et non de l’Etat.             

"Domaine(s)" et indice(s) Dewey

  • Les arts (700)
  • Art rococo (709.032)

Thème(s)

Intervenants, édition et diffusion

Intervenants

Fournisseur(s) de contenus : Serge BLERALD

Diffusion

Document(s) annexe(s) - « Bas-fonds du baroque. Rome des vices, de la misère et des excès ». Exposition Académie de France à Rome – Villa Médicis et Petit Palais, 2014 – 2015

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AUTEUR(S)

  • Annick Lemoine
  • Francesca Cappelletti

EN SAVOIR PLUS

  • Identifiant de la fiche
    14691
  • Identifiant
    oai:canal-u.fr:14691
  • Schéma de la métadonnée
  • Entrepôt d'origine
    Canal-U