Ressource pédagogique : La casa-templo d’Elegguá Alagbara : la mémoire de l’esclavage à travers l’ethnographie du culte des Orichas (Cuba) / Maxime Toutain

cours / présentation - Date de création : 17-10-2016
Auteur(s) : Maxime TOUTAIN
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Présentation de: La casa-templo d’Elegguá Alagbara : la mémoire de l’esclavage à travers l’ethnographie du culte des Orichas (Cuba) / Maxime Toutain

Informations pratiques sur cette ressource

Langue du document : Français
Type pédagogique : cours / présentation
Niveau : licence, master, doctorat
Durée d'exécution : 21 minutes 22 secondes
Contenu : image en mouvement
Document : video/mp4
Taille : 176.87 Mo
Droits d'auteur : libre de droits, gratuit
Droits réservés à l'éditeur et aux auteurs. Tous droits réservés à l'Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail et aux auteurs.

Description de la ressource pédagogique

Description (résumé)

La casa-templo d’Elegguá Alagbara : la mémoire de l’esclavage à travers l’ethnographie du culte des Orichas (Cuba) / Maxime Toutain, in colloque "Mémoire et histoire de l'esclavage dans le monde atlantique", organisé dans le cadre du programme de recherche de l'accord franco-brésilien CAPES-COFECUB et du labex SMS Mémoires de l'Esclavage aux AMériques (MESCLAM), Université Toulouse Jean-Jaurès-campus Mirail, 17-18 octobre 2016. Panel 2 : Héritages et recompositions. En 1861, l’esclave Ta Jorge fonde dans la plantation d’Álava, aujourd’hui central Méjico (Matanzas, Cuba), un culte dédié à une divinité africaine : l’Oricha Elegguá Alagbara (Zulueta Villegas, 2013). Cette tradition locale se construit autour de trois reliques qui ont la réputation d’avoir été apportées directement d’Afrique par Ta Jorge. De nos jours, ses descendants ont toujours la charge de ce culte local. Pourtant cette tradition a été modifiée, entre la fin du XIXe et tout au long du XXe, pour s’inclure dans la santería moderne qui s’est systématisée dans les grands pôles urbains. Grâce à l’ethnographie de la maison de culte d’Elegguá Alagbara, il est possible de déterminer la nature, la fonction mais aussi les limites de la mémoire de l’esclavage au sein de cette tradition. Mémoire double car il s’agit, d’un côté, d’une mémoire collective et discursive qui permet la création d’une « lignée de croyants » (Hervieu-Léger, 1993). De l’autre se trouve une mémoire incorporée, faite de gestes et de pratiques, qui donne à voir la structure socio-raciale du système esclavagiste et, peut-être, une infrapolitique des esclaves (Scott, 1992).

"Domaine(s)" et indice(s) Dewey

  • Histoire de Cuba (972.91)
  • Esclavage (commerce des esclaves, histoire de l'esclavage) (306.362)

Thème(s)

Intervenants, édition et diffusion

Intervenants

Fournisseur(s) de contenus : SCPAM / Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail, Claire SARAZIN

Éditeur(s)

Diffusion

Document(s) annexe(s) - La casa-templo d’Elegguá Alagbara : la mémoire de l’esclavage à travers l’ethnographie du culte des Orichas (Cuba) / Maxime Toutain

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AUTEUR(S)

  • Maxime TOUTAIN

ÉDITION

Université Toulouse-Jean Jaurès-campus Mirail

EN SAVOIR PLUS

  • Identifiant de la fiche
    35989
  • Identifiant
    oai:canal-u.fr:35989
  • Schéma de la métadonnée
  • Entrepôt d'origine
    Canal-U
  • Date de publication
    17-10-2016